Argumentaire

"Sciences participatives et communication scientifique : écrire, publier, valoriser"

 

Les sciences et recherches participatives (SRP) font de plus en plus l'objet d'une attention toute particulière au sein des institutions de l'enseignement supérieur et de la recherche. Bien que les SRP ne soient pas une pratique nouvelle (voir notamment les programmes de recensement des oiseaux par la Fondation Audubon1 depuis le début du 20ème siècle ou le développement des recherches participatives dans les années 702), 2021 et 2022 ont été des années de reconnaissance institutionnelle en France de l'importance d’encourager le développement de pratiques. L'injonction s'inscrit dans la réponse de l'Etat et des universités aux enjeux de circulation des informations scientifiques (entre fausses informations et crainte envers une possible défiance envers la science3), qui là encore bien que peu nouveaux, ont gagné en visibilité pendant la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid 19.

En effet, la Loi de programmation de la recherche de 20204 annonce trois actions pour le soutien des recherches participatives, dans le cadre des directives relatives à la médiation scientifique :

  • "consacrer au moins 1 % du budget d'intervention de l'ANR au partage de la culture scientifique, via des appels à projets dédiés mais aussi en finançant un volet " recherche participative " ou un volet " culture scientifique " dans le cadre des projets de recherche " volontaires ", (...)";

  • lancer un prix INRAE et MESR pour récompenser les travaux d'un chercheur ou d'une équipe portant sur la recherche participative,

  • et d'une manière générale développer les projets de sciences participatives et  de science citoyenne. Les sciences participatives sont définies comme contribution massive des citoyens et les sciences citoyennes comme une co-élaboration de projets par des chercheurs et des citoyens.

 Ainsi dès 2021 et 2022, trois appels à projets de l’ANR s’inscrivent autour la médiation scientifique et des relations sciences sociétés afin de financer des projets de science participative. En 2021, le programme de labellisation SAPS5 : Science Avec et Pour la Société engage les établissements titulaires à s'organiser pour faciliter l'ensemble des actions relatives aux relations science et société, parmi lesquelles le développement de sciences et recherches participatives.

Nous constatons au sein du réseau des URFIST un intérêt toujours croissant pour les recherches participatives qui se manifeste par l’organisation de nombreuses journées d’études et rencontres6. Les questions abordées sont liées à l'éthique, aux enjeux de co-élaboration/méthodologie, aux résultats, aux relations avec les participants de la société civile, etc.

En revanche, la communication scientifique et sa possible transformation sont plus rarement interrogées. Les enjeux relatifs aux participants, aux restitutions ou encore à la reconnaissance soulèvent pourtant des questions propres à l'information scientifique et technique en termes d'auctorialité, de valorisation, de communication. 

A l'occasion de la journée d'étude nationale du réseau des Urfist, qui se tiendra le 16 novembre, à Bordeaux, nous souhaitons interroger :

1) la manière dont la communication scientifique se transforme à l’aune de l’ouverture sciences/société;

2) l'influence qu'ont les sciences et recherches participatives sur la nature, la forme, la diffusion des résultats scientifiques (données, logiciels, publications, brevets).

La journée d'étude portera sur trois grands thèmes :

* Ecrire la science dans des projets de sciences et recherches participatives

* Publier les résultats des projets de sciences et recherches participatives

* Valoriser les résultats des projets de sciences et recherches participatives

L’écriture scientifique dans les projets de SRP

La représentation commune veut que la communication scientifique comporte deux volets: une écriture qui vise un public de pairs chercheurs, spécialistes et attentifs à une certaine formalisation des produits de la recherche via des articles de recherche, et une écriture qui vise des citoyens à l’expertise variables mais attentifs à une certaine narration de la recherche scientifique. 

Du côté de l'écriture pour les pairs, le développement de la science ouverte pourrait amener à repenser une écriture scientifique dont la formalisation assurait jusqu’ici à la fois la qualité et la recevabilité. L'ouverture des carnets de laboratoires, les carnets sur la plateforme web “hypotheses.org”7, et l'essor des prépublications, des articles de données sont autant de formes qui ré-interrogent cette formalisation et par conséquent les critères de qualification relatifs à la communication scientifique. De même, la science ouverte intègre plus que jamais la société en point de mire d'une science qui doit se penser comme accessible et participative. Plusieurs expériences de nouvelles formes d'écriture et de narration ont été menées, notamment dans les sciences sociales : qu'il s'agisse d'aller vers la science-fiction avec Haraway8 et Despret9, ou d'interroger l’écriture non académique avec les ateliers “C’est pas très académique” du Centre Emile Durkheim10 ou les travaux d’exploration de l’écriture non textuelle du laboratoire Passage à Bordeaux.  La Fabrique des Écritures11 à Marseille œuvre de son côté pour la recherche et la création de nouvelles narrations en sciences sociales à travers différents médias.

 

De leur côté, les sciences et recherches participatives produisent des publications collectives avec des supports variés (vidéos, émissions radio, etc.) et leur attention à la restitution12 et à l’accessibilité des résultats en font des terrains intéressants pour observer l'évolution d'une écriture scientifique. Ici la publication voire la publicisation des résultats sort de la dualité, pour les pairs / pour un public large.

 

Les productions des sciences et recherches participatives posent d’abord la question de la définition des critères de scientificité et de qualité apposés sur ces nouveaux formats mais aussi la question de l’acceptabilité sociale de la science13 dans les divers groupes concernés. La question se pose également en termes d'écriture et de formalisation de l'écriture comme en termes d'intégration de ces documents dans l'écosystème de la communication scientifique, y compris en termes d’évaluation de la recherche. Alors même que l'on publie de plus en plus les données, mais aussi les logiciels et les codes à côté des publications que ces objets de savoir ont permis, à quels de ces objets faudra-t-il donner accès pour donner à voir la justesse d'une enquête participative ? Par ailleurs, si une partie de ces textes, des protocoles aux résultats, sont traduits vers un langage moins technique et expert, sans pour autant être de la documentation technique, devra-t-on parler de vulgarisation ? Quelle est cet intermédiation, cette traduction qui n'est cependant pas une simplification, tant elle s'adresse à des participants à des projets, qui sont donc, sinon experts, du moins avertis, concernés, déjà sensibilisés, et producteurs de ces résultats ?

 

Publier les résultats des projets de SRP

Un des piliers de la communication scientifique est la publication. Celle-ci se présente sous trois formes, au moins : la publication des résultats, dans des revues et autres lieux/supports de diffusion, après relecture par les pairs, la publication des questions de recherche et de méthodologie dans des carnets, comme ceux d'Hypothèse.org dont la validation du carnet est antérieure à l’écriture des articles et donc a priori de l'écriture, et enfin la publication d'information sur le projet, sur un site web de promotion du projet, qui est une écriture auto-validante, bien que forcément validée par le nombre de lecteurs et la réception des textes. Dans ces trois cas, cette publicisation de la recherche a pour enjeux la visibilité du projet et des auteurs-autrices,  ceci permettant ou promettant d'accroître la réputation des auteurs, d'ajouter de nouvelles lignes pour les dossiers d'évaluation, de faciliter la recherche de nouveaux financements, le lancement de nouveaux projets ou encore la constitution de nouvelles équipes, etc. Entre reconnaissance individuelle et reconnaissance institutionnelle, la publication repose sur un double jeu d'identification, des auteurs et des institutions, et de validation, des qualités scientifiques des résultats et des procédures et méthodes. 

Pour que ce jeu puisse se tenir, des règles de signature ont été mises en place avec le nom de l'auteur et son affiliation, qui permettent d'identifier, mais aussi de citer, reconnaître14, etc. Or, sous cette apparente simplicité se cache une multitude de questions, parmi lesquelles : tout signataire d'un article en est-il l'auteur15 ? Où en est-il un des acteurs ? On le voit pour les articles signés par 15 auteurs16, voire davantage. Ou encore, peut-on publier au titre d'un collectif ? La course parallèle à la publication et l'évaluation a pu conduire à des positions de refus de l'identification individuelle pour combattre le principe du “high-cited researcher”, ainsi l'auteur collectif Camille Nous17.  

 

Le développement des projets de SRP renouvelle d'autant plus ces questions relatives à l'auctorialité que les conditions de production de la recherche reposent sur une masse d'acteurs qui, s'ils ne sont pas toujours auteurs, sont producteurs de données, et parfois d'analyses. La quantité -même de ces auteurs-acteurs questionne la dimension maximale du nombre d'auteurs d'un article. L'anonymat dans la participation, anonymat du fait du projet comme anonymat choisi au moment d'écrire, n'empêche pas les besoins de reconnaissance qui ne seraient pas liés à des carrières professionnelles individuelles, mais à des besoins de reconnaissance sociale18. A ce titre, la reconnaissance d'un auteur collectif, associatif, dont la dénomination n'apparaît pas comme dotée d'un prénom et d'un nom devrait être possible19. Enfin, la reconnaissance de l'auteur par la revue repose-t-elle uniquement sur l'article validé ou sur tout un tissu d'éléments qui font la validité de l'auteur : affiliation, adresse email institutionnelle, identifiant chercheur type Orcid, etc20. qui sont autant de critères excluants pour les citoyens chercheurs ? Ces questions autour de l'auctorialité sont autant de fils à tresser pour comprendre si les SRP peuvent amener les chercheurs à d'autres modalités de reconnaissance de leurs recherches que la publication académique et la relecture par les pairs. Sans compter les questionnements relatifs au droit d’auteur.

Valoriser les résultats des projets de SRP

 Le dernier pilier de la communication scientifique est celui de sa valorisation, qui appelle à la manifestation d'autres acteurs, outre les auteurs et les éditeurs évoqués précédemment, à savoir les médiateurs scientifiques, les bibliothécaires, *data scientists* et autres professionnels soutiens de la recherche qui complètent le continuum des compétences et métiers de la recherche. La valorisation des résultats de la recherche ne prend pas l'unique forme de la publication. Les catalogues de bibliothèque, les projets art et science participent autant de la valorisation des résultats que la mise à disposition de données ou d'articles en open access ou la data visualisation de ces mêmes données, sans compter de nombreuses autres formes de valorisation. Cette diversité a pour objectif de donner accès et de faciliter l’appropriation des résultats par des pairs et par des citoyens, appropriation en vue de créer de nouveaux savoirs ou tout simplement pour confirmer ou infirmer des connaissances.

Le développement, d'une part, des politiques de science ouverte, notamment  relatives aux données, et, d'autre part, des politiques de science et société, transforme considérablement la dynamique d'accès. Il ne s'agit plus de donner seulement l’accès à des publications, mais bien à d'autres formes de résultats, qui à l'heure actuelle n'ont pas de place dans les catalogues de bibliothèques ou sont peu visibles. Il ne s'agit plus de donner accès aux interprétations et analyses, mais aussi aux données structurées permettant de nouvelles interprétations et de nouveaux jeux de données. Il ne s'agit plus seulement de produire des artefacts de médiation scientifique conçus dans un espace temps différent de la recherche, mais d'inscrire la médiation au cœur de la production scientifique, comme partie prenante du projet. On le voit bien dans la part spécifique donnée aux questions de dissémination et de communication au sein des projets financés par l’ANR ou par l’Europe. 

 

 L'essor des SRP renouvelle ces questions d'accès en apportant une touche supplémentaire de complexité. En effet, les enjeux relatifs à l'accès croisent ceux relatifs à la restitution. Il ne s'agit pas seulement de valoriser et de publiciser dans une dynamique d'évaluation et de carrière, mais bien de redevabilité. A la fois parce que l'investissement des citoyens engage une forme de contrepartie morale à la restitution des résultats (qu'on trouve d'une manière générale dans toutes les sciences sociales et la relation au terrain21), mais aussi parce que parce que l'enjeu des SRP de faire comprendre la méthode scientifique ne pourrait se satisfaire de ne faire découvrir qu'une partie somme toute réduite du processus de recherche qu'est la collecte de données. Mener un projet de SRP appelle à une attention forte à une accessibilité aux résultats de la recherche, à la fois du point de vue des outils d’accès aux documents et du point de vue de la lisibilité des documents eux-mêmes.. 

 

Cela questionne d'abord les lieux de valorisation des résultats, qui devront peut-être sortir des lieux de savoirs académiques (revues, bibliothèques universitaires) pour investir d'autres lieux de savoirs physiques (bibliothèques territoriales, musées, maison d'associations, tiers-lieux, etc.) et numériques (depuis Wikipedia jusqu'à YouTube), voire des lieux qui ne sont pas considérés comme des lieux de savoirs (places, rues, forêts22, etc.). Quels sont les lieux de savoirs qui favorisent une réception plus large de ces résultats et sous quelles conditions, de publication, d'ouverture, d'accès et finalement d'écriture ?

 

Cela questionne ensuite le repérage de ces résultats et leur identification comme résultats de recherche participative. Sommes-nous en mesure aujourd'hui d'identifier ne serait-ce que les publications relatives aux SRP afin de les valoriser ?

 

Et, enfin, cela questionne les modalités de production et de restitution des résultats, notamment leur forme, leur nature et bien sûr leurs auteurs, ce qui nous ramène aux questions précédentes relatives à l'écriture de la science et à sa publication.

 

Texte rédigé par le comité scientifique de la Journée Nationale d'étude des Urfist, 2023 :

  • Raphaëlle Bats, Urfist de Bordeaux, Université de Bordeaux, Centre Emile Durkheim
  • Gabriel Gallezot, Urfist Méditerranée, Université Côte d'Azur, Equipe Transitions
  • Rémi Joinville, Urfist de Bretagne et des Pays de la Loire, Université de Rennes 2
  • Mariannig Le Béchec, Urfist de Lyon, Université Claude Bernard Lyon 1, UR ELICO
  • Annaïg Mahé, Urfist de Paris, Ecole des Chartes, DICEN
  • Elsa Poupardin, Université de Paris, Equipe Sciences & Médias
  • Guillaume Sire, Urfist Occitanie, Université de Toulouse, Institut de Droit de l'Espace, des Territoires, de la Culture et de la Communication

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Notes de bas de page :

1 La Fondation Audubon : https://www.audubon.org/

2 Godrie, B., Juan, M., & Carrel, M. (2022). Recherches participatives et épistémologies radicales : Un état des lieux. Participations, 32(1), 11‑50. https://doi.org/10.3917/parti.032.0011

3 Voir l’article de The Conversation sur le sujet : https://theconversation.com/les-francais-et-la-chloroquine-une-defaite-de-la-culture-scientifique-174482

4 LOI n° 2020-1674 du 24 décembre 2020 de programmation de la recherche pour les années 2021 à 2030 et portant diverses dispositions relatives à la recherche et à l’enseignement supérieur (1), 2020-1674 (2020). https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042738027

5 Le label SAPS : https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/criteres-du-label-science-avec-et-pour-la-societe-saps-49490

6 Ainsi : Les "Rencontres du tiers secteur scientifique" organisées fin 2020 à l'Université de Rennes 2.

Le colloque "Des recherches participatives sur l'étude des sols : quel bilan ? Quels futurs ?", organisé en novembre 2021 par INRAE, l'ADEME et l'OFB.

Le colloque "Recherches participatives en santé et bien-être des populations : défis et pratiques" organisé en mars 2022 par l'IRESP, Institut pour la recherche et la santé publique.

Le Colloque "Enjeux éthiques des sciences et recherches participatives" organisé en novembre 2022 par l'Urfist de Bordeaux, INRAE, l'Université de Bordeaux et le Museum National Histoire Naturelle.

Le Colloque du GIS Démocratie et participation, organisé en novembre 2022, sur le thème : Démocratie par temps sombre : autoritarismes, participations, expérimentations, qui a consacré plusieurs tables-rondes, rencontres et ateliers sur les recherches participatives.

7 Carnet Hypothèses.org : https://fr.hypotheses.org/

8 Haraway, D. J. (2020). Vivre avec le trouble. Les Éditions des mondes à faire.

9 Despret, V. (2021). Autobiographie d’un poulpe : Et autres récits d’anticipation. Actes Sud.

10  https://www.centreemiledurkheim.fr/les-ateliers-de-recherche/atelier-cest-pas-tres-academique/

11 https://lafabriquedesecritures.fr/about/

12 voir la triple traduction d'un article de recherche dans le cadre du projet Tree Guards, par Bastien Castagneyrol, 2021

13 Noury, B. & Seguin, L. (2021). Participation et construction de l’acceptabilité sociale : fantasme ou réalité ?. Sciences Eaux & Territoires, 35, 42-45.https://doi.org/10.3917/set.035.0042

14 Stewart, C. N. J. (2011). Authorship : Who’s an Author on a Scientific Paper and Why. In Research Ethics for Scientists (p. 105‑119). John Wiley & Sons, Ltd.https://doi.org/10.1002/9781119978862.ch8

15 Brand, A., Allen, L., Altman, M., Hlava, M., & Scott, J. (2015). Beyond authorship : Attribution, contribution, collaboration, and credit. Learned Publishing, 28(2), 151‑155. https://doi.org/10.1087/20150211

16 Il y a plusieurs tentatives de dénomination des différents contributeurs et auteurs. On peut en lire une tentative dans le Contributor Roles Taxonomy (CRediT) : https://credit.niso.org/ et https://coop-ist.cirad.fr/etre-auteur/reconnaitre-tous-les-contributeurs/3-la-taxonomie-credit-pour-identifier-toutes-les-contributions

17 L'idée portée par Rogue ESR 'est de faire de Camille Noûs la/le chercheur-euse la/le plus cité.e, pour montrer l'absurdité de l'évaluation de la recherche par le nombre d'articles publié. https://aoc.media/opinion/2021/04/26/chercher-pour-le-bien-commun/

18 Godrie, B., Juan, M. & Carrel, M. (2022). Recherches participatives et épistémologies radicales : un état des lieux. _Participations_, 32, 11-50. [https://doi.org/10.3917/parti.032.0011](https://doi.org/10.3917/parti.032.0011) paragraphe 53

19 Voir l’expérience d’écriture et d’auctorialité que Pédauque, Roger T. : http://base.d-p-h.info/fr/fiches/dph/fiche-dph-8220.html

20 Sarna-Wojcicki, D., Perret, M., Eitzel, M. V., Fortmann, L., & Bruno, I. (2018). Où sont passé·e·s les coauteurs·trices ? Revue d’anthropologie des connaissances, 122(2), 323‑360.

21 Voir l’expérience québecoise : Godrie, B., & Heck, I. (2021). chapitre 29 : L’approche participative, la recherche-action et leurs principales stratégies d’enquête et d’inclusion des groupes subalternisés. In F. Piron & E. Arsenault, Guide décolonisé et universel de formation à la recherche en sciences sociales et humaines. Éditions science et bien commun.https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/projetthese/chapter/methodes-de-recherche-participative-recherche-action-et-sciences-citoyennes/

22 Le projet ECODOC mené à l’Université de Bordeaux s’attache à créer des passerelles entre lieux de savoirs habituels et lieux de savoir de type forêts, littoral, etc. http://weburfist.univ-bordeaux.fr/ecodoc/

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